Editorial du N°1 Janvier-Février 1994

 

« BILAN »

 

Par Francis BAILET

 

 

C’est le temps des évaluations et des bilans ! Les entreprises y sont obligatoirement soumises. La rigueur des chiffres, la précision des moyens informatiques évitent toute contestation sur la qualité de leur gestion, et leur viabilité à court ou moyen terme. Les responsables de l’administration et de la rédaction de Servir doivent aussi établir un bilan et envisager l’avenir avec réalisme.

 

Au niveau financier la situation n’est pas très saine, juste passable. Le nombre des abonnés payants est encore trop faible et celui des abonnements impayés pour 1993 et 1992 trop élevé.

 

Pouvons-nous compter sur vous pour régulariser votre situation et régler aussi l’abonnement 1994 ? Pouvons-nous compter sur vous pour trouver de nouveaux abonnés ? De votre décision dépend aussi l’avenir de votre revue.

 

Au niveau spirituel, nous pouvons nous réjouir. Servir est apprécié par beaucoup, dans nos assemblées et dans d’autres familles spirituelles. Nous voulons persévérer dans le ministère d’enseignement, d’information et d’encouragement du peuple de Dieu. Nous voulons « garder intact, par l’Esprit Saint qui habite en nous, le bien précieux qui nous a été confié » et le « mettre en pratique dans la foi et dans l’amour, dans l’union avec Jésus-Christ » (2 Tim 1:13-14).

 

Ce premier éditorial de l’année 1994 est une exhortation à vous engager pour la revue Servir, mais aussi et davantage encore pour votre Eglise locale et pour tous ceux qui ne connaissent pas l’Evangile.

 

Vos frères et sœurs ont besoin de vous. De votre présence, de vos prières, de vos encouragements, de votre soutien.

 

Votre prochain a besoin de vous. Pour comprendre l’Evangile et croire en lui, il faut que notre comportement, notre disponibilité, nos paroles l’interpellent et l’attirent.

 

C’est aujourd’hui le temps du bilan. Le Seigneur nous propose de le faire avec lui. Une fois de plus, si nous acceptons, sans réserve, son évaluation, il nous dira aussi, très fort, sa merveilleuse grâce et la possibilité de repartir pour une nouvelle étape. Une étape que nous voudrions pour vous tous heureuse et bénie.

 

F. BAILET